

LE LIVRE
Et si la magie du cinéma avait partie liée à la peinture ? Aux tableaux que revisite parfois le réalisateur afin de mettre en image son scénario, aux oeuvres ou ambiances picturales qui s'imposent aux spectateurs au visionnage de certains films.
Cet ouvrage est né de ces regards croisés entre le septième art et la peinture, là où l'image filmique cache ou révèle une image picturale.
À cet exercice, presque tous les grands courants cinématographiques se sont illustrés car très nombreux sont les réalisateurs qui ont développé, consciemment ou non, une esthétique en affinité avec l'art silencieux et immobile qu'est la peinture.
Des frères Lumière à David Lynch, une étude passionnante sur les rapports féconds de la peinture et du cinéma.
SOMMAIRE
Introduction
Un peintre au cinéma : Vincent Van Gogh
Le "style" au cinéma
Le rôle des tableaux dans les films
Edward Hopper au cinéma
Le cinéaste et son modèle
Analogies de motifs
Passeurs d'images
LA PRESSE EN PARLE
"Les rapports entre ces deux arts sont ainsi décryptés, et on admirera notamment les développements sur l'expressionnisme allemand, les différentes visions de Van Gogh (chez Pialat, Minnelli et Kurosawa) ou la présence du peintre américain Edward Hopper chez quelques cinéastes -notamment Hitchcock, très souvent cité dans ce livre aussi raffiné qu'instructif." L'Express
"Abondamment illustré, Cinéma et peinture propose une promenade sinueuse entre la toile et l'écran. Le livre orchestre un heureux exercice de montage d'une discipline à l'autre, terrain fécond qui n'oublie jamais d'être, aussi, une fête pour le regard". Le Monde - 04/12/2019
"Riche de documents visuels et d'analyses de films, l'ouvrage de Joëlle Moulin est un enchantement pour les amateurs d'art comme pour les cinéphiles". The Art Newspaper - Décembre 2019
"La scène de la douche dans Psychose et Le Cri d'Edward Munch, les gros plans de David Lynch et les visages déformés de Francis Bacon ... les correspondances entre septième art et peinture sont aussi nombreuses que fécondes. Inventaire subjectif et érudit dans cet ouvrage aux superbes reproductions de toiles." Télérama - 03 décembre 2019
"On apprend ainsi que Wim Wenders doit beaucoup à Edward Hopper, que Stanley Kubrick a choisi les éclairages à la bougie de Barry Lyndon, son chef-d'oeuvre, afin de reproduire les ambiances des tableaux de Gainsborough ... Passionnant." Femme Actuelle Senior - Janvier 2020
À nouveau disponible en septembre 2020
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